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Vision hispanique d'une France qu'on aime... ou qu'on déteste
12 janvier 2009

Petite pensée

J'ai juste envie d'écrire, de laisser mes doigts s'emporter sur le clavier, pour que tout en étant motivés par le mouvement mélodique des touches, ils racontent tout ce que je n'arrive pas à dire.

Et pourtant c'est tellement facile, tellement humain comme sentiment, tellement simple à décrire et tellement difficile à la fois. Qu'est-ce qu'il m'arrive? Je me demande pourquoi nous nous sentons si perdus parfois quand nous avons tout autour.

Il s'agit peut-être de la maladie de la possession dont les symptômes passent par le besoin d'avoir de plus en plus de choses tout en sachant que l'apaisement qu'elles nous apportent n'est que momentané. Il y a des millions de personnes qui auraient envie d'agir, que le monde change, que tous les êtres humains aient une chance, mais les schémas sociaux nous en empêchent. Il est plus important d'avoir une voiture, un appart, un mari, une famille, une belle déco à la maison que d'aider son voisin en detresse... et si pour cacher les nausées qui nous provoque notre propre codice nous voudrions acumuler plus de biens pour taire nos demons internes??


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Commentaires
P
Ce que tu dis est peut-être vrai, mais il est possible de réaliser les 2 à la fois, à savoir aider les autres et se préoccuper de choses futiles.<br /> Ces futilités sont parfois nécessaire à notre équilibre et ne doivent peut être pas être considérées comme telles mais comme un mal nécessaire qui nous fait du bien... <br /> <br /> A méditer...
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